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Montréal continue d’attirer à l’international, malgré la pandémie
En dépit de la pandémie et de la fermeture des frontières, Montréal a su conserver son attractivité à l’international, révèlent les derniers résultats de l’organisation Montréal International, qui contribue au rayonnement économique de la métropole à l’étranger.
En 2020, Montréal International a accompagné des investissements étrangers totalisant 2,2 milliards de dollars, comparativement à un total de 2,6 milliards l’année précédente — soit une baisse de 15 %. Toutefois, Stéphane Paquet, président-directeur général de l’organisation, demeure très satisfait au regard du contexte. « C’est la troisième de nos meilleures années chez Montréal International », a-t-il noté en conférence de presse (voir notre graphique).
L’organisation de promotion de la métropole à l’international a soutenu 90 projets en 2020. « C’est un nombre de projets record » a soutenu M. Paquet, en plus de souligner la création ou le maintien de 8192 emplois — un autre record. « Le salaire moyen de ces emplois-là, c’est 83 976 $.Des jobs payantes, en voilà ! » a-t-il renchéri.
Des « chiffres impressionnants », ont tour à tour souligné la mairesse Valérie Plante, le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon, et la ministre fédérale du Développement économique, Mélanie Joly, qui prenaient part à la conférence de presse virtuelle.
Et contrairement à la Silicon Valley, qui voit certains de ces travailleurs lui échapper en raison du télétravail, Montréal n’a pas à s’inquiéter d’un tel phénomène ici, croit M. Paquet. Parce que la métropole québécoise, contrairement à certaines grandes villescomme San Francisco, offre une bonne qualité de vie et que le coût de la vie y est raisonnable.
Nouvel outil de recrutement
Pour continuer d’attirer de nouveaux talents étrangers, Montréal International lance une toute nouvelle plateforme en ligne (talentmontreal.com) destinée aux travailleurs internationaux qui cherchent un emploi et qui souhaitent s’établir dans la métropole. (…).
Source : Extrait d’article tiré de « Le Devoir »